une exploration des liens familiaux invisibles
Anne Ancelin-Schützenberger et son livre incontournable, Aïe, mes aïeux !
Le génosociogramme, un outil de compréhension
Dans Aïe, mes aïeux !, Ancelin-Schützenberger introduit le génosociogramme, une méthode qui dépasse le simple arbre généalogique. Elle y intègre des éléments de vie marquants : maladies, séparations, non-dits ou décès prématurés.
En visualisant ces données, il devient possible de repérer des schémas récurrents et de comprendre les dynamiques inconscientes qui influencent nos décisions et notre santé.
La transmission des traumatismes
Le livre met en lumière la façon dont des traumatismes anciens peuvent se transmettre d’une génération à l’autre. Ces transmissions sont parfois si discrètes qu’elles passent inaperçues, mais leurs effets se font sentir : des dates qui reviennent, des maladies ou des comportements qui semblent « inexpliqués ».
En nous donnant les moyens de les identifier, Ancelin-Schützenberger offre une voie de libération.
L’auteur et son approche humaniste
Psychothérapeute et universitaire, Anne Ancelin-Schützenberger a consacré sa vie à explorer les « loyautés invisibles » qui lient les membres d’une famille à travers les générations.
Son approche repose sur la mise en lumière et la compréhension des relations transgénérationnelles, avec l’objectif de redonner à chacun une part de liberté. À travers son œuvre, elle invite à regarder le passé avec lucidité pour mieux construire l’avenir.
